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today journée tarabiscotée.
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Commentaires
et bien voilà un texte psychédéllque !
Que faire de ce bois flotté ? une tête de la Méduse peut être !
Passe un bon dimanche, malgré vent et pluie !
Bises
Et bien moi j'y vois une femme allongée sur le ventre qui fait sa gym, bras en arrière et jambes relevées.
Bisous et bon dimanche
Lucia
Magnifique chanson l'ami Cerdan.... Et une belle pièce de bois échouée sur le littoral. la tempête s'est calmée et le soleil brille ce matin. La prochaine est prévue pour demain !
Bises et bon dimanche.
7olgaDimanche 7 Février 2016 à 10:32Très belle chanson de Thiephaine. Cet étrange bois flotté colle bien avec les paroles, il ressemble à un monstre sorti d'un cauchemar
C'est du bois flotté, entre ici et Mers les Bains il y a dans un village un artisan qui récupère ce bois et en fait des objets de décoration.
Bon dimanche.
Bonjour cerdan,
Magnifique ce bois, je le verrai bien chez moi. J'aime énormément. Une très belle chanson de Thiéfaine. Un chanteur que j'aime beaucoup.
Bonne fin de journée.
Amicalement.
Coucou
Sûrement un message ou une offrande de la mer en tout cas sympathique cliché bravo
Je te souhaite de passer une bonne fin de we ainsi qu'une douce soirée
Amitiés MaOna
Belle chanson de hubert felix thiefaine et joli bois flotté, je connais des artistes qui le mettraient volontiers en valeur..........
Bon début de semaine Cerdan !!!
Coucou Cerdan , oui il y en a beaucoup sur la plage ! . J' attends les grosses vagues , peut être cet après midi . Bonne journée , escapade
Bonsoir nous venons te souhaiter une excellente et agréable soirée nous allons faire une petite pause pour remettre le site en ordre nous te remercions de ta visite musicalement de toute l'équipe Patrick
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Paroles de Syndrome Albatros Clown masqué décryptant les arcanes de la nuit
Dans les eaux troubles et noires des amours-commando
Tu croises des regards alourdis par l'oubli
Toi qui voulait baiser la terre dans son ghetto
Tu en reviens meurtri, vidé par sa violence
Et tu fuis ce vieux monstre à l'écaille indigo
Comme on fuit les cauch'mars souterrains de l'enfance
De crise en delirium, de fièvre en mélodrame
Franchissant la frontière aux fresques nécrophiles
Tu cherches dans les cercles où se perdent les âmes
Les amants fous, maudits, couchés sur le grésil
Et dans le froid torride des heures écartelées
Tu retranscris l'enfer sur la braise de tes gammes
Fier de ton déshonneur de poète estropié
Tu jouis comme un phénix ivre mort sous les flammes
Puis en busard blessé, cerné par les corbeaux
Tu remontes vers l'azur flashant de mille éclats
Et malgré les brûlures qui t'écorchent la peau
Tu fixes dans les brumes Terra Prohibida
Doux chaman en exil, interdit de sabbat
Tu pressens de là-haut les fastes à venir
Comme cette odeur de mort qui précède les combats
Et marque le début des vocations martyres
Mais loin de ces orages, vibrant de solitude
T'inventes un labyrinthe aux couleurs d'arc-en-ciel
Et tu t'en vas couler tes flots d'incertitude
Dans la bleue transparence d'un soleil torrentiel
Vois la fille océane des vagues providentielles
Qui t'appelle dans le vert des cathédrales marines
C'est une fille albatros, ta petite soeur jumelle
Qui t'appelle et te veut dans son rêve androgyne